Toulouse FC : Cristian Cásseres revient sur le début de saison difficile du TFC

Après un début de saison compliqué, le Toulouse FC a su redresser la barre grâce à de belles performances, se plaçant désormais dans une position favorable au classement. Lors d'une interview, Cristian Cásseres s'est confié sur cette période difficile et sur les raisons de ce faux départ.

Un début de saison timide pour le Toulouse FC : l'analyse de Cristian Cásseres

Si le TFC a finalement su faire taire les critiques, c'est avant tout grâce à la détermination du groupe. Cependant, en début de saison, les résultats décevants ont provoqué la colère des supporters. Avec une seule victoire lors de ses huit premiers matchs de Ligue 1, obtenue face au Havre AC (2-0), le club a connu un départ chaotique. Le reste du bilan affichait 4 défaites et 3 matchs nuls. Cette mauvaise passe a valu des critiques sévères à l'entraîneur Carles Martínez et à certains joueurs, dont Zakaria Aboukhlal, pris pour cible par des sifflets.

Heureusement, le Toulouse FC a réussi à inverser la tendance, enchaînant plusieurs victoires et retrouvant une certaine sérénité. Selon Cristian Cásseres, ce début difficile s'explique par une phase de reconstruction de l'équipe, marquée par l'arrivée de nombreux nouveaux joueurs :

« Cet été encore, l'équipe a été reconstruite. Nous ne nous connaissions pas bien, car beaucoup de joueurs sont arrivés tardivement. Cela a pris du temps pour apprendre à travailler ensemble et bâtir la confiance. Maintenant, l'objectif est de continuer à performer, à domicile comme à l'extérieur », a-t-il déclaré.

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Un objectif européen toujours en ligne de mire

Actuellement neuvième du classement avec 21 points, le TFC reste ambitieux. Avec seulement trois points de retard sur le top 6, le club vise toujours une place en compétition européenne. De son côté, Cristian Cásseres s'épanouit pleinement dans son rôle de milieu défensif : « Je prends énormément de plaisir à courir pour aider un coéquipier, récupérer des ballons et fournir des munitions aux attaquants. Quand on gagne, c'est une victoire collective. »