En quête d’un attaquant polyvalent, le Montpellier HSC poursuit activement ses recherches sur le marché des transferts. Parmi les cibles potentielles de la cellule de recrutement figure le buteur congolais Elia Meschack.
Le Montpellier HSC relance la piste Elia Meschack
En plus de ses faiblesses défensives, le Montpellier HSC doit également renforcer son secteur offensif. La cellule de recrutement travaille sans relâche pour trouver un joueur capable de s’adapter à plusieurs postes en attaque. Durant ce mercato, plusieurs noms ont été évoqués, dont Keita Baldé, Elye Wahi, Wissam Ben Yedder et Ignatius Ganago. Cependant, ces profils semblent difficiles à convaincre, notamment en raison de situations contractuelles ou financières qui ne conviennent pas au MHSC.
Malgré ces obstacles, le club héraultais ne renonce pas à l’idée de muscler sa ligne d’attaque. Avec la perspective d’un départ d’Akor Adams, le MHSC devra trouver un remplaçant capable d’assumer le rôle de buteur. Dans ce contexte, Elia Meschack, déjà ciblé l’été dernier, revient sur les tablettes.
Selon le journaliste belge Sacha Tavolieri, l’international congolais de 27 ans reste une option sérieusement envisagée par les dirigeants montpelliérains. Le profil d’Elia Meschack, toujours suivi de près à Grammont, pourrait ainsi inciter le MHSC à tenter une nouvelle approche pour le recruter.
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Un profil séduisant mais un dossier complexe
Le principal obstacle à cette opération reste financier. Les Young Boys de Berne, où évolue actuellement Elia Meschack, pourraient se montrer exigeants sur le plan économique. Pourtant, ses performances plaident en sa faveur : depuis le début de la saison, l’attaquant congolais a disputé 21 matchs, totalisant 1 038 minutes de jeu, inscrivant 1 but et délivrant 2 passes décisives.
En outre, Meschack se distingue par sa polyvalence, une qualité particulièrement recherchée par le MHSC. Capable d’évoluer sur les ailes ou comme second attaquant axial, il correspond parfaitement au profil visé pour renforcer l’effectif. Cependant, les contraintes financières pourraient compliquer les négociations.